D’Echirolles, ou ailleurs ! Pourtant ce sont nos enfants, Un simple regard, tu te crois agressé. Toi petit homme Tu as poussé dans la violence Des séries Américaines, à tes jeux innocents Du bout des doigts Tu détruits, tires, frappes. Tes jeux prennent corps. Tu baignes dans cet univers L’envers du décor,Le sang inonde ta petite vie Ils t’apprennent à tuer,Au sortir du biberon, Pour rien, par jeu ! Et l’enjeu; être le plus fort. Tu n’aspasd’autres jouets, Tu n’as pas eu le temps de grandir.La baston transformée, La force récupérée Reproduite en exemple. Scène de vies, ou mort. Tu déchaînes tes frustrations. Petit homme rebelle. Tes cruelles occupations Sales coups, Un jour pas comme les autres En pleine errance, Finies les croyances Tu te transformes en héros meurtrier. Oublié l’amour du prochain,Ou sont passé » les touches pas à mon pote » Tant de violence, les coups portent Les bras cognent. Ils auraient pu grandir encore, La mort les à emporté. Et c’était nos enfants.Quant à vous, Dirigeants, Policiers, juges ; Vous aurez beau
Faire le beau, vous montrer Et même,en arrêter certains Ce ne sont pas vos prisons Qui changeront la question Enfants d’Amour, devenu, bêtes fauves ! Stoppez ces déferlements de violences, Et de haine. Arrêtez vos valeurs devenues référence : Peace and loves. Paix et Amours. G.B.