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Publié par | olascar1 |
Publié le | 10 janvier 2014 |
Nombre de lectures | 1 488 |
Langue | Français |
Poids de l'ouvrage | 4 Mo |
Extrait
Parkinson : la piste
de la maladie à prion
Les recherches sur cette affection neurologiue rogressent à grans as
ne rotéine toiue our certains neurones a été ientifiée L’origine cérérale
e cette alaie est aussi reise en uestion lications
Par Sylvie Riou-Milliot
C’de la mal al eds iespd éePcaiarl kisitne-s Le repliement d’une protéine caractérise la pathologie
son on nom ’alpa-sn-
cléine Présente dans le cerea
à l’état normal elle pet sos l’in-
flence de acters encore incon-
ns caner de orme et deenir
tcoei e ipsorn tceréttaiisnesn tnlea rdoonpeas- La protéine alpha-synucléine
mine le neromédiater man- nuratleelst eon nper eéil à( cuag Ellhe). repe seadsnil ef rou en me
proanotdaernlsecerttmeo rmta ladtiaen…t deet elstb tênef ueliite). Cea (à dro selom sucélrmnoa pete alenègohta ehcir ,
raisons i eplient poroime’sagn garélepi entoprueu sxoistt Ellone.neur le tneutitsnoc se
terllae aoilclaelinst ea l’a tdtéecnrtiopnt adee cdee c ettei idaled era snilacue ir ldemaa on.llémoe uratgnsia
complee aection neroloie
i toce personnes en
rance pls de millions dans maladie de Parkinson cane-t-
le monde et dont les oriineselle de orme aec le temps Por-
demerent inconnes oi deient-elle toie por les
es acides aminés i com- nerones lors’elle se plie anor-
posent l’alpa-sncléine sont malement erait-elle donc n
désormais a cœr de totesprion ne protéine inectiese
les recerces a protéine acomme l’aait pressenti dès
d’aillers ait l’oet de nom-tanle Prsiner pri oel de
reses commnications lorsmédecine en ès lors si ce
d dernier orld Parkinsonprion se transmet de nerone en
onress i se tenait à on-nerone ne porrait-on enisa-
tréal anada en octore sii er de le loer por empêcer
par participants ens de sa propaation tant d’inter-
pas ais poroi cetteroations i orent des oies
molécle dont on sait ’elle est de recerce inédites
le constitant maer des corps n irae amorcé après plsiers
de e ces aréats anorma décennies pendant leselles les
dans le cerea i « sinent » la scientifies se sont srtot oca-
60Avenir - Janvier 2014 - N° 803- Sciences et
150 000
patients en rance
14 000
noueaux cas par an
2 %
des plus de ans
5000€
en moenne par malade
et par an le coût du
traitement
14 symptômes
diérents au moment
du diagnostic, après
dix ans d’éolution.
lisés sr la dopamine(lire l’inter-
view p. 62) e nerotransmetter
i réle notamment la motri-
cité et les émotions est en eet
manant t les nerones de la
sstance noire i en assrent
la sntèse sont ce i déé-
nèrent de manière très lente et
proressie and les smp-
tômes classies tremlements
riidité… apparaissent on estime
e d’entre e sont déà
détrits a principale térapie
repose sr n médicament ss-
titti la -dopa ais aec le
temps ses eets s’estompent et
peent prooer des moe-
ments inolontaires appelés ds-
SANTÉ
Lenteur et difficultés dans les mouvement s sont des signes de la maladie, qui surviennent longtemps après d’autres symptômes, comme la perte de l’odorat.
kinéie. Seul recour paroi à
ce tade la timulation cérébrale
proonde d’une tructure céré -
brale pécifique, le noyau ou-
thalamique, par une technique
chiruricale mie au point il y a
int-cinq an par le médecin
rançai lim-oui enabid et
ierre ollak, à renoble.
an le année 10, pour relan -
cer la ynthèe déaillante de la
dopamine, de Suédoi ont eu
l’idée d’une autre oie théra -
peutique reer de cellule
embryonnaire, eune et actie,
dan le cereau d’une diaine de
parkinonien. ne tratéie qui
era d’ailleur reprie en 201 par
RECHERCHE
De l’intestin… au cerveau, en passant par le nez
« Et si Parkinson commençait au niveau deouverte » sur le cerveau, puisue les anomalies
l’intestin et du nez ? » retrouvées, lançait au congrès au niveau des neurones digestis
mondial de Parkinson, à Montréal, Patrik étaient semlales à celles des neurones
Brundin, neurologue à université de Lund cérérau Pouruoi Mstère n sait
(Suède) Ce spécialiste connaît (presue) cependant ue la perte d’une partie de l’odorat,
la réponse l est en eet l’auteur d’un des prolèmes digestis et des troules du
récent travail () validant, ce la souris, une sommeil constituent une triade annonciatrice
potèse iconoclaste la propagation rapide de la maladie, souvent plusieurs années avant
des dépôts d’alpasnucléine à partir du les autres signes« Sa présence pourrait orienter
ule olacti vers d’autres régions du cerveautôt vers des examens plus approfondis »plus ,
n , une éuipe rançaise du CS () note le Pr livier ascol, du C de oulouse
avait, elle, démontré pour la première ois(1)Acta Neur