Traité des maladies des yeux et des oreilles : considérées sous le rapport des quatre parties ou quatre ages de la vie de l'homme : avec les remédes curatifs, & les moyens propres à les préserver des accidens : avec planches gravées en taille-douce
'* 1*1*«*.«.«*.—«^' «-r**» ^"^^^-)h*•'*3l'.j^:,^%->^rt;%•f'-*LIBRARYTHEOFTHE UNIVERSITYOF CALIFORNIALOSANGELESGIFTDr. M. N. Beigelraan'éfi:t-^1 hiEA ï TT K.MALADIESDESDES YEUXET• OREILLES,DESquatreConsidérées fous le rapport desParties ou quatre Ages de la vie deTHomme ;les lesavec remèdes curatifs 3c moyens,propres h les prcfervcr accidensdes ;u4vec Planches gravées en taille- douce :Par m. l'Abbé D E SMONC EAUX,Penfioiinaire du Roi.Lux à lace pcndet.TOME SECOND.PARIS,f L'AUTEUR, rue S.î -Antoine, au coin de la rue RoyaL",N^^ 157.Chez)^LOTTIN DES . - G E R M .1 1 N Libraire-Imprimctt{;,de la Ville , rue S. Andié.dcs-Ar:s. N"^ 17.DCC. LXXXVLM.4yECAPPR0BATl0N, ET PRIVILEGE DUROI1fUhoniAU LECTEUR.voile m^'-3 E n'ai pas cherché a couvrir d'unj'aiftéricux le réfultat de mes Obfcrvations jquerendu avec franchifc , ce que j'ai vu , ce,de cri-j'ai fait &: ce qui m'a rcuffi : bien loinje netiquer la pratique des uns,& des autres,me fuis pas même permis de jetter le moindrequi c'cftlouche puifle le faire foupçonncr jprefcrit ainûdonc un devoir que je me fuis ,prefqu'aucune cita-que celui de ne fairequ'avec lation parce qu'il pouroit arriverjne rendemeilleure intention du monde je,chacun enpas toute la juftice qui eft due àparticulier. Profeflion foi ilVoilà ma de ; eftvrai que j'auroispu faire beaucoup de citations,qui peut-être auroient donné un nouveau poids& un mérite de plus à mon Ouvrage aufïï;en a-t-il ...
^rt;%•f'-*LIBRARYTHEOFTHE UNIVERSITYOF CALIFORNIALOSANGELESGIFTDr. M. N. Beigelraan'éfi:t-^1 hiEA ï TT K.MALADIESDESDES YEUXET• OREILLES,DESquatreConsidérées fous le rapport desParties ou quatre Ages de la vie deTHomme ;les lesavec remèdes curatifs 3c moyens,propres h les prcfervcr accidensdes ;u4vec Planches gravées en taille- douce :Par m. l'Abbé D E SMONC EAUX,Penfioiinaire du Roi.Lux à lace pcndet.TOME SECOND.PARIS,f L'AUTEUR, rue S.î -Antoine, au coin de la rue RoyaL",N^^ 157.Chez)^LOTTIN DES . - G E R M .1 1 N Libraire-Imprimctt{;,de la Ville , rue S. Andié.dcs-Ar:s. N"^ 17.DCC. LXXXVLM.4yECAPPR0BATl0N, ET PRIVILEGE DUROI1fUhoniAU LECTEUR.voile m^'-3 E n'ai pas cherché a couvrir d'unj'aiftéricux le réfultat de mes Obfcrvations jquerendu avec franchifc , ce que j'ai vu , ce,de cri-j'ai fait &: ce qui m'a rcuffi : bien loinje netiquer la pratique des uns,& des autres,me fuis pas même permis de jetter le moindrequi c'cftlouche puifle le faire foupçonncr jprefcrit ainûdonc un devoir que je me fuis ,prefqu'aucune cita-que celui de ne fairequ'avec lation parce qu'il pouroit arriverjne rendemeilleure intention du monde je,chacun enpas toute la juftice qui eft due àparticulier. Profeflion foi ilVoilà ma de ; eftvrai que j'auroispu faire beaucoup de citations,qui peut-être auroient donné un nouveau poids& un mérite de plus à mon Ouvrage aufïï;en a-t-il ..." />
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THE UNIVERSITY
OF CALIFORNIA
LOSANGELES
GIFT
Dr. M. N. Beigelraan
'éfi:t-^
1 hiEA ï TT K.
MALADIESDES
DES YEUX
ET
• OREILLES,DES
quatreConsidérées fous le rapport des
Parties ou quatre Ages de la vie deTHomme ;
les lesavec remèdes curatifs 3c moyens,
propres h les prcfervcr accidensdes ;
u4vec Planches gravées en taille- douce :
Par m. l'Abbé D E SMONC EAUX,
Penfioiinaire du Roi.
Lux à lace pcndet.
TOME SECOND.
PARIS,
f L'AUTEUR, rue S.î -Antoine, au coin de la rue RoyaL",
N^^ 157.Chez)
^LOTTIN DES . - G E R M .1 1 N Libraire-Imprimctt{;,
de la Ville , rue S. Andié.dcs-Ar:s. N"^ 17.
DCC. LXXXVLM.
4yECAPPR0BATl0N, ET PRIVILEGE DUROI1
fUhoni
AU LECTEUR.
voile m^'-3 E n'ai pas cherché a couvrir d'un
j'aiftéricux le réfultat de mes Obfcrvations j
querendu avec franchifc , ce que j'ai vu , ce,
de cri-j'ai fait &: ce qui m'a rcuffi : bien loin
je netiquer la pratique des uns,& des autres
,
me fuis pas même permis de jetter le moindre
qui c'cftlouche puifle le faire foupçonncr j
prefcrit ainûdonc un devoir que je me fuis ,
prefqu'aucune cita-que celui de ne faire
qu'avec lation parce qu'il pouroit arriver
j
ne rendemeilleure intention du monde je
,
chacun enpas toute la juftice qui eft due à
particulier. Profeflion foi ilVoilà ma de ; eft
vrai que j'auroispu faire beaucoup de citations,
qui peut-être auroient donné un nouveau poids
& un mérite de plus à mon Ouvrage aufïï
;
en a-t-il coûté à mes fentimens , de me replier
furmoi-même, de ne pouvoir m'étendre aufîi
avantageufemcnt que je l'auroisdéfîré,en faifant
Anciensrevivre la mémoire des , & cou\T:irîV AU LECTEUR.
de lauriers la réputation des Modernes maii;
j'ofe cfpérer que perfonne ne m'en fçaura
mauvais gré parce qu'une réputation juftement
j
acquife n'a befoin ni d'écrits ni de trompette
pour triompher c'eft d'après les oeuvres5 , c'eft
d'après les fuccès qu'on peut &: qu'on doit
,
juger les Hommes.
W
TLANCHE III;