Monseigneur le duc de Bourbon : notice historique sur la vie et la mort de son altesse royale
366 pages
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/*,^^^m\\MONSEIGNEUR7lE IM il BllllllNOTICE HISTORIQUESI LUm ET LA MORT DE Si ALTESSE iïALEPARV ^M. LE COMTE A. R. DE VILLEMUR,ANCIEN OFFICIER DE CAVALERIE, CHEVALIER PENSIONNÉ DE l'oRDRR DECHARLES CHEVALIER DE l'oRDRE OM CHRISTIII,DE PORTUGAL, ETC., ETC.DOCUMENTS INÉDITS.« Non, le^Prince de Condé ne s'est pas donné»la mort.{Paroles de M. l'abbé Pélier, aumônierdernier Condé prononcéesdu à St-Dcm,chmre, lejour des funéruiltea.)mo-^3§^gs>-oÙcLAVANT-PROPOS.avons toujours ëlé^ plusNous et récem-ment encore péniblement impressionné,en lisant dans des écrits publiés au sujettragique de S. A. R.de la mort Monsei-gneur le duc de Bourbon-Prince de Condé,des jugements sévères sttr son caractère,des appréciations justes, peu confor-peumes à IsÉ vraie tévûé historique. Fils,neveu de Chevaliers la Couronne,inscritdevicomtenous-même, à peine né, par M. leAVÀNT-PROPOS.6Bussy, sur contrôles de ce beau etde lesbrave régiment Parmée de Condé, nousdenous croyons quelque droit aussi à releverla mémoire de M. le duc Bourbon du re-deproche de d'esprit^ reprochenonfaiblessemérite. Quant à son courage militaire, onlui a, à cet égard, rendu une complètejus-tice.Et il n'en pouvait, assurément, être au-trement : car il était Condè^ et Delille,dans son poëme de Malheur et Pitié^ apar ses beaux vers ainsi noblement chantéhéréditaire.sa valeur« voir, surpassant les récits de la fable,J'aime à« même espoir mouvoir trois héros à-la-fois :Un« Condé ...

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Extrait

/* , ^^^m \\ MONSEIGNEUR 7 lE IM il Bllllll NOTICE HISTORIQUE SI LUm ET LA MORT DE Si ALTESSE iïALE PAR V ^ M. LE COMTE A. R. DE VILLEMUR, ANCIEN OFFICIER DE CAVALERIE, CHEVALIER PENSIONNÉ DE l'oRDRR DE CHARLES CHEVALIER DE l'oRDRE OM CHRISTIII, DE PORTUGAL, ETC., ETC. DOCUMENTS INÉDITS. « Non, le^Prince de Condé ne s'est pas donné »la mort. {Paroles de M. l'abbé Pélier, aumônier dernier Condé prononcéesdu à St-Dcm, chmre, lejour des funéruiltea.)m o-^3§^gs>-o ÙcL AVANT-PROPOS. avons toujours ëlé^ plusNous et récem- ment encore péniblement impressionné , en lisant dans des écrits publiés au sujet tragique de S. A. R.de la mort Monsei- gneur le duc de Bourbon-Prince de Condé, des jugements sévères sttr son caractère, des appréciations justes, peu confor-peu mes à IsÉ vraie tévûé historique. Fils, neveu de Chevaliers la Couronne,inscritde vicomtenous-même, à peine né, par M. le AVÀNT-PROPOS.6 Bussy, sur contrôles de ce beau etde les brave régiment Parmée de Condé, nousde nous croyons quelque droit aussi à relever la mémoire de M. le duc Bourbon du re-de proche de d'esprit^ reprochenonfaiblesse mérite. Quant à son courage militaire, on lui a, à cet égard, rendu une complètejus- tice. Et il n'en pouvait, assurément, être au- trement : car il était Condè^ et Delille, dans son poëme de Malheur et Pitié^ a par ses beaux vers ainsi noblement chanté héréditaire.sa valeur « voir, surpassant les récits de la fable,J'aime à « même espoir mouvoir trois héros à-la-fois :Un « Condé,Bourbon, Engliien,sefont d'autres Recrois; (( prodigues d'un sang chéri de la victoire,Et, »<( Trois générations vont ensemble à la gloire. écrit que nousAprès avoir lu le nouvel drame mys-publions^, à notre tour, sur ce àSaint-Leu,sanglant, qui se passatérieux, AVANT-PROPOS. 7 dans la nuit du 26 au 27 août 1 quel-830, ques-uns de nos lecteurs, si nous avons le bonheur d'en avoir, peut-être s'écrieront : Encore un auteur qui ne conclut point ! prévoyant l'objection qui neD'accord! peut manquer faite, nousde nous être voulons y répondre d'avance. Moins aventureux que ceux qui ont écrit les premiers sur ce même sujet, nous rap- portons leurs différentes opinions et nous gardons encore les nôtres. A quoi donc servirait-il de conclure en ce moment, où, assure-t-on, là famille de Rohan-Guéme- née d'unva provoquer la révision procès intenté il a vingt-deux ans par trois de sesy membres? Il ne saurait nous appartenir de rien préjuger sur une question qui sera nouveauxjuges. A eux desoumise à de dé- conclure sur cette grave affaire.cider, de chargerions-nous de laPourquoi nous pé- nible tâche de dénoncer les coupables pré- sumés, ceux qu'on suppose avoir étoulfé 8 AVANT-PROPOS. dans sa propre demeure princière, dansson lit, la nuit, un noble vieillard, le dernier descendant du plus brillant héros de notre histoire française? Il nous semble que les partisans du pouvoir renversé le 24 février se sont un peu trop maladroitement1848j émus de l'éventualité de la révisiondu pro- cès relatif à la mort violente de S. A. R. Monseigneur le duc deBourbon.Mon Dieu! qu'ils se rassurent donc, la prescription en matière criminelle est acquise depuis deux ans aux coupablesdu crime commis à Saint- part la honte de faireLeu. A un pareil du prince pourrait impu-aveu, l'assassin nément, judiciairement parlant, dire au- jourd'hui : « C'est moi qui l'ai étouffé et « accroché ensuite à l'espagnolette de la « fenêtrede sachambre à coucher ! Après ?» Et puis la tombe s'est déjà refermée^sur quelques-uns des sanglants acteurs,|]tou- jours présumés, ou complices, moralement ou immoraiement, du dramedeSaint-Leu.
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